COMMUNIQUÉ DE PRESSE
pour diffusion immédiate
Les Verts de l'Outaouais reviennent optimistes du congrès du PVQ
Gatineau, le 24 février 2013 - Des membres du Parti vert du Québec en Outaouais reviennent du Congrès du PVQ qui se tenait cette fin de semaine au Collège de Maisonneuve à Montréal.
Claude Sabourin a annoncé sa démission en tant que chef du parti lors de l'assemblée générale de dimanche, ce qui déclenche une course à la chefferie. Jean Cloutier a été choisi comme chef par intérim, et un nouvel exécutif a été élu.
Jozyam Fontaine, ancienne candidate du PVQ dans la circonscription de Hull, se réjouit du changement. « Nul besoin de retourner nos cartes de membres. Monsieur Sabourin s’est incliné et a demandé de passer directement à la course à la chefferie dès dimanche » dit Mme Fontaine.
Jonathan Meijer, ancien candidat du PVQ dans Chapleau, prend le poste de trésorier dans le nouveau conseil exécutif. Après le congrès, il se dit très optimiste. « Même si le congrès est fini, il y a bien du travail à faire pour rebâtir le parti, mais nous avons une belle équipe et nous sommes prêts! » affirme M. Meijer.
Lors du congrès, les membres verts présents ont pu se prononcer sur divers sujets traités dans le programme du parti, dont l'identité nationale, sur laquelle le parti a pris une position officielle de neutralité. Une mise à jour concernant la condition animale a valu au PVQ l'appui du Parti vert du Canada.
Le PVQ sort du congrès avec de belles victoires et un renouveau au sein du parti : un programme mis à jour, un nouvel exécutif dynamique, engagé et prêt à travailler pour l'amélioration du parti, l'élection d'un nouveau chef d'ici six mois, et aussi la remise en place du Conseil national, pierre angulaire du parti, absent depuis plus de deux ans.
- 30 -
Renseignements:
Jozyam Ilsa Fontaine
819-319-6143
lundi 25 février 2013
lundi 10 septembre 2012
AVIS AUX MÉDIAS: Des résidents de Hollow Glen seront au conseil municipal de Chelsea
AVIS AUX MÉDIAS
Des résidents de Hollow Glen seront au conseil municipal de Chelsea
Chelsea, Québec, le 9 septembre 2012 - Des résidents de Hollow Glen invitent les médias à se joindre à eux pour la séance du conseil municipal de Chelsea lundi soir.
Les résidents feront part, aux élus municipaux, de leurs frustrations concernant les sujets suivants dans leur communauté:
- La perte éventuelle d'un corridor faunique vital pour le Parc de la Gatineau;
- Le lac Beamish (Mountains) et le barrage du chemin Hollow Glen;
- Le chemin Kelly et ses fossés très profonds.
QUAND: Le lundi 10 septembre 2012, 19h30
OÙ: 216 chemin Old Chelsea, Chelsea (Québec)
- 30 -
Renseignements:
Claude Francoeur
819-827-1390
Steve Labossiere
819-827-1974
--------------
MEDIA ADVISORY
Hollow Glen residents at Chelsea Municipal Council
Chelsea, Québec, September 9, 2012 - Concerned residents from Hollow Glen wish to invite the media to join them at Chelsea's Municipal Council Monday night.
The residents will present their frustrations to the mayor and council regarding the following issues in their community:
- The possible loss of a wildlife corridor vital to the Gatineau Park;
- Beamish Lake and the Hollow Glen road dam;
- Kelly Road and its very deep ditches.
WHEN: Monday September 10, 2012, 7:30 pm
WHERE: 216 Old Chelsea Rd, Chelsea (Québec)
- 30 -
Contact:
Claude Francoeur
819-827-1390
Steve Labossiere
819-827-1974
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lundi 3 septembre 2012
AVIS AUX MÉDIAS: Soirée électorale PVQ en Outaouais
AVIS AUX MÉDIAS
Soirée électorale du Parti vert du Québec en Outaouais
Gatineau, Québec, le 3 septembre 2012 - Le Parti vert du Québec en Outaouais invite les médias à se joindre aux candidats et à leurs équipes électorales lors de la soirée électorale.
Jonathan Meijer, candidat dans Chapleau, Brandon Bolduc, candidat dans Gatineau et Jozyam Fontaine, candidate dans Hull, seront présents durant la soirée. Garry Bélair, candidat dans Pontiac, viendra peut-être se joindre aux autres Verts durant la soirée.
QUAND: Le mardi 4 septembre 2012, à partir de 19h
OÙ: Au restaurant
Les candidats seront aussi disponibles par téléphone en appelant le 819-210-4085.
- 30 -
Renseignements:
Jonathan Meijer
jonathan.meijer@pvq.qc.ca
Tél: 819-210-4085
Twitter: @jnmeijer
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MEDIA ADVISORY
Election Night for the Green Party of Québec in the Outaouais
Gatineau, Québec, Septembre 3, 2012 - The Green Party of Québec in the Outaouais wishes to invite the media to join them and their election teams during election night.
Jonathan Meijer, candidate in Chapleau, Brandon Bolduc, candidate in Gatineau and Jozyam Fontaine, candidate in Hull, will be present during the event. Garry Bélair, candidate in Pontiac, indicated he might come, too.
WHEN: Tuesday September 4, 2012, as of 7 pm
WHERE:
The candidates will also be available by phone by calling 819-210-4085.
- 30 -
Contact:
Jonathan Meijer
jonathan.meijer@pvq.qc.ca
Tel: 819-210-4085
Twitter: @jnmeijer
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mercredi 29 août 2012
COMMUNIQUÉ: Le Parti vert en Outaouais parle d'accessibilité à la justice
COMMUNIQUÉ DE PRESSE
pour diffusion immédiate
Le Parti vert en Outaouais parle d'accessibilité à la justice
Gatineau, le 28 août 2012 - Le candidat du Parti vert du Québec dans Chapleau, Jonathan Meijer, trouve qu'il est déplorable que personne ne semble parler du système de justice et de son accessibilité.
« Nous, au Parti vert, avons par exemple dénoncé depuis le printemps l'intimidation judiciaire. Non seulement nous étions parmis les seuls à dénoncer les amendes visiblement arbitraires données aux jeunes participant aux manifestation nocturnes de Hull, mais par extension nous dénonçons l'usage du système de justice pour intimider ces citoyens québécois. »
M. Meijer explique que cette intimidation peut se faire par le simple fait qu'il est trop cher pour se défendre adéquatement en cour: « Au Québec, nous avons un sérieux problème d'accessibilité au système de justice. De 40 à 60% des gens doivent se défendre seuls en cour, sans l'aide d'un avocat. »
M. Meijer précise que le PVQ n'est pas seul à en parler: « Il y a deux semaine, la juge en chef de la Cour suprême du Canada l'a dit elle-même: l'accès à la justice est fondamentale; si les gens comprennent qu'ils ne peuvent pas voir de justice, ils n'auront plus le même respect pour la loi. » Il ajoute aussi que l'Actualité avait tout un dossier, intitulé « Justice: une affaire de riches? » dans l'édition du 1er mai 2011. Malgré cela, M. Meijer pense que le sujet n'a vraiment pas été suffisamment abordé dans le discours public.
M. Meijer suggère aussi que les réformes du système judiciaire devraient aller plus loin que seulement l'accessibilité et suggère la séparation du judiciaire et du barreau: « Un avocat ne devrait jamais devenir juge. Il faut créer une école de magistrature. On deviendrait soit juge, soit avocat. »
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Renseignements:
Jonathan Meijer
jonathan.meijer@pvq.qc.ca
Tél: 819-210-4085
Twitter: @jnmeijer
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Le Parti vert en Outaouais parle d'accessibilité à la justice
Gatineau, le 28 août 2012 - Le candidat du Parti vert du Québec dans Chapleau, Jonathan Meijer, trouve qu'il est déplorable que personne ne semble parler du système de justice et de son accessibilité.
« Nous, au Parti vert, avons par exemple dénoncé depuis le printemps l'intimidation judiciaire. Non seulement nous étions parmis les seuls à dénoncer les amendes visiblement arbitraires données aux jeunes participant aux manifestation nocturnes de Hull, mais par extension nous dénonçons l'usage du système de justice pour intimider ces citoyens québécois. »
M. Meijer explique que cette intimidation peut se faire par le simple fait qu'il est trop cher pour se défendre adéquatement en cour: « Au Québec, nous avons un sérieux problème d'accessibilité au système de justice. De 40 à 60% des gens doivent se défendre seuls en cour, sans l'aide d'un avocat. »
M. Meijer précise que le PVQ n'est pas seul à en parler: « Il y a deux semaine, la juge en chef de la Cour suprême du Canada l'a dit elle-même: l'accès à la justice est fondamentale; si les gens comprennent qu'ils ne peuvent pas voir de justice, ils n'auront plus le même respect pour la loi. » Il ajoute aussi que l'Actualité avait tout un dossier, intitulé « Justice: une affaire de riches? » dans l'édition du 1er mai 2011. Malgré cela, M. Meijer pense que le sujet n'a vraiment pas été suffisamment abordé dans le discours public.
M. Meijer suggère aussi que les réformes du système judiciaire devraient aller plus loin que seulement l'accessibilité et suggère la séparation du judiciaire et du barreau: « Un avocat ne devrait jamais devenir juge. Il faut créer une école de magistrature. On deviendrait soit juge, soit avocat. »
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Renseignements:
Jonathan Meijer
jonathan.meijer@pvq.qc.ca
Tél: 819-210-4085
Twitter: @jnmeijer
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Québec
mercredi 22 août 2012
Une lettre pour Roch Cholette
Monsieur Cholette,
Je vous remercie d'abord de m'avoir accueilli à votre émission hier. Je crois que les Gatinois tireront avantage à être informés au sujets des plus petits partis, surtout lors d'une élection où il semble s'être imposé un certain embargo sur la disponibilité de cette information.
Je dois vous dire que je trouve dommage que vous ayez (je suppose pour but d'exemple) indirectement questionné mon parcours de formation, alors qu'il me semble que le parcours professionnel des candidats a beaucoup plus d'importance.
Par exemple, ma formation est un baccalauréat en génie informatique obtenu en 2004 à l'Université d'Ottawa (voir une copie en pièce jointe). Du jour au jour, par contre, tel témoigné par mon titre d'emploi de programmeur analyste (voir une copie de ma promotion récente en pièce jointe), je n'utilise qu'une partie des connaissances et de l'expérience que j'ai acquise à l'université. Certains de mes collègues n'ont qu'un diplôme collégial en « techniques de génie informatique » mais ils sont bien qualifiés et ont démontré leurs compétences pour leur emploi.
Quand on postule un emploi dans le domaine de la technologie de l'information, un diplôme collégial ou universitaire est très souvent requis simplement pour postuler. Mais malgré ce prérequis, selon mon expérience, l'authenticité du diplôme supposément détenu par le candidat à l'emploi est rarement vérifiée.
Bien plus souvent, voire presque toujours, c'est plutôt l'entrevue qui permet au candidat de prouver son parcours de formation, et les références fournies permettent à l'employeur de vérifier les éléments importants du parcours professionnel.
Un individu se portant candidat lors d'une élection se retrouve dans une position bien similaire à quelqu'un postulant emploi. Je suis sûr de ne pas être le seul qui juge que l'expérience professionnelle qu'il ou elle prétend avoir est importante, et qu'il est raisonnable d'en demander preuve si le candidat n'a pas de lien de longue date avec le parti et n'est pas une personnalité connue.
Comme je vous l'avais expliqué, ça fait depuis 2007 que j'ai eu l'occasion de travailler avec M. Sabourin, et cela lui a permis de faire bonne connaissance de ma valeur en tant que participant politique et ensuite candidat au fédéral. En août 2011, il m'a personnellement invité à devenir candidat du Parti vert du Québec, une offre que j'ai acceptée. Quand il a été ensuite question d'engager d'autres candidats de l'Outaouais, l'équipe locale a trouvé des gens que nous connaissions déjà, et dont nous connaissions le rôle dans la communauté. De plus, les candidats avaient très vite démontré un engagement ne laissant aucun doute quant à leurs intentions.
Si une taupe s'est insérée dans le processus, ce n'était sûrement pas pour démontrer l'ouverture du Parti vert du Québec en tant que regroupement décentralisé de membres ayant une passion pour l'environnement et une meilleure qualité de vie et justice sociale. Rappelons qu'une alliance informelle de candidats indépendants (dont Elizabeth May) qui s'étaient présentés lors de l'élection fédérale de 1980 pour l'environnement et contre le nucléaire, était un des précurseurs des partis verts au Canada.
Je pense qu'il est juste de se demander si le journaliste Ewan Sauves (un pigiste, il faut se le rappeler) essayait plutôt simplement de discréditer un parti en écrivant ce qui a peut-être été le seul article permettant à La Presse de briser son silence médiatique au sujet de ce parti. Je me demande s'il a vraiment exposé une facette critiquable du Parti vert du Québec, son ouverture et sa décentralisation, ou s'il a plutôt exposé la tendance apparente des grands partis à ne chercher comme candidats que des personnalités publiques ou des personnes d'affaires ayant une grande ambition ou encore de leurs travailleurs politiques de longue date, ignorant toute une classe de gens moins nantis mais tout aussi (ou encore plus) compétents en tant que représentants du peuple.
Le Parti vert du Québec doit peut-être améliorer et formaliser son processus de recrutement de candidats, mais le parti ne cesse d'évoluer et laissez-moi vous convaincre que son équipe en Outaouais est une équipe honnête, dédiée et qualifiée sacrifiant toute heure de loisir pour la cause. Nous ne cesserons de participer dans le débat, même entre les élections, car nous voulons nous assurer que les sujets locaux importants ne soient pas oubliés.
Je vous prie d'agréer, M. Cholette, l'expression de mes sentiments les plus sincères.
Jonathan Meijer
Parti vert du Québec - candidat dans Chapleau
Je vous remercie d'abord de m'avoir accueilli à votre émission hier. Je crois que les Gatinois tireront avantage à être informés au sujets des plus petits partis, surtout lors d'une élection où il semble s'être imposé un certain embargo sur la disponibilité de cette information.
Je dois vous dire que je trouve dommage que vous ayez (je suppose pour but d'exemple) indirectement questionné mon parcours de formation, alors qu'il me semble que le parcours professionnel des candidats a beaucoup plus d'importance.
Par exemple, ma formation est un baccalauréat en génie informatique obtenu en 2004 à l'Université d'Ottawa (voir une copie en pièce jointe). Du jour au jour, par contre, tel témoigné par mon titre d'emploi de programmeur analyste (voir une copie de ma promotion récente en pièce jointe), je n'utilise qu'une partie des connaissances et de l'expérience que j'ai acquise à l'université. Certains de mes collègues n'ont qu'un diplôme collégial en « techniques de génie informatique » mais ils sont bien qualifiés et ont démontré leurs compétences pour leur emploi.
Quand on postule un emploi dans le domaine de la technologie de l'information, un diplôme collégial ou universitaire est très souvent requis simplement pour postuler. Mais malgré ce prérequis, selon mon expérience, l'authenticité du diplôme supposément détenu par le candidat à l'emploi est rarement vérifiée.
Bien plus souvent, voire presque toujours, c'est plutôt l'entrevue qui permet au candidat de prouver son parcours de formation, et les références fournies permettent à l'employeur de vérifier les éléments importants du parcours professionnel.
Un individu se portant candidat lors d'une élection se retrouve dans une position bien similaire à quelqu'un postulant emploi. Je suis sûr de ne pas être le seul qui juge que l'expérience professionnelle qu'il ou elle prétend avoir est importante, et qu'il est raisonnable d'en demander preuve si le candidat n'a pas de lien de longue date avec le parti et n'est pas une personnalité connue.
Comme je vous l'avais expliqué, ça fait depuis 2007 que j'ai eu l'occasion de travailler avec M. Sabourin, et cela lui a permis de faire bonne connaissance de ma valeur en tant que participant politique et ensuite candidat au fédéral. En août 2011, il m'a personnellement invité à devenir candidat du Parti vert du Québec, une offre que j'ai acceptée. Quand il a été ensuite question d'engager d'autres candidats de l'Outaouais, l'équipe locale a trouvé des gens que nous connaissions déjà, et dont nous connaissions le rôle dans la communauté. De plus, les candidats avaient très vite démontré un engagement ne laissant aucun doute quant à leurs intentions.
Si une taupe s'est insérée dans le processus, ce n'était sûrement pas pour démontrer l'ouverture du Parti vert du Québec en tant que regroupement décentralisé de membres ayant une passion pour l'environnement et une meilleure qualité de vie et justice sociale. Rappelons qu'une alliance informelle de candidats indépendants (dont Elizabeth May) qui s'étaient présentés lors de l'élection fédérale de 1980 pour l'environnement et contre le nucléaire, était un des précurseurs des partis verts au Canada.
Je pense qu'il est juste de se demander si le journaliste Ewan Sauves (un pigiste, il faut se le rappeler) essayait plutôt simplement de discréditer un parti en écrivant ce qui a peut-être été le seul article permettant à La Presse de briser son silence médiatique au sujet de ce parti. Je me demande s'il a vraiment exposé une facette critiquable du Parti vert du Québec, son ouverture et sa décentralisation, ou s'il a plutôt exposé la tendance apparente des grands partis à ne chercher comme candidats que des personnalités publiques ou des personnes d'affaires ayant une grande ambition ou encore de leurs travailleurs politiques de longue date, ignorant toute une classe de gens moins nantis mais tout aussi (ou encore plus) compétents en tant que représentants du peuple.
Le Parti vert du Québec doit peut-être améliorer et formaliser son processus de recrutement de candidats, mais le parti ne cesse d'évoluer et laissez-moi vous convaincre que son équipe en Outaouais est une équipe honnête, dédiée et qualifiée sacrifiant toute heure de loisir pour la cause. Nous ne cesserons de participer dans le débat, même entre les élections, car nous voulons nous assurer que les sujets locaux importants ne soient pas oubliés.
Je vous prie d'agréer, M. Cholette, l'expression de mes sentiments les plus sincères.
Jonathan Meijer
Parti vert du Québec - candidat dans Chapleau
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