mercredi 29 août 2012

COMMUNIQUÉ: Le Parti vert en Outaouais parle d'accessibilité à la justice

COMMUNIQUÉ DE PRESSE
pour diffusion immédiate

Le Parti vert en Outaouais parle d'accessibilité à la justice

Gatineau, le 28 août 2012 - Le candidat du Parti vert du Québec dans Chapleau, Jonathan Meijer, trouve qu'il est déplorable que personne ne semble parler du système de justice et de son accessibilité.

« Nous, au Parti vert, avons par exemple dénoncé depuis le printemps l'intimidation judiciaire.  Non seulement nous étions parmis les seuls à dénoncer les amendes visiblement arbitraires données aux jeunes participant aux manifestation nocturnes de Hull, mais par extension nous dénonçons l'usage du système de justice pour intimider ces citoyens québécois. »

M. Meijer explique que cette intimidation peut se faire par le simple fait qu'il est trop cher pour se défendre adéquatement en cour: « Au Québec, nous avons un sérieux problème d'accessibilité au système de justice.  De 40 à 60% des gens doivent se défendre seuls en cour, sans l'aide d'un avocat. »

M. Meijer précise que le PVQ n'est pas seul à en parler:  « Il y a deux semaine, la juge en chef de la Cour suprême du Canada l'a dit elle-même: l'accès à la justice est fondamentale; si les gens comprennent qu'ils ne peuvent pas voir de justice, ils n'auront plus le même respect pour la loi. »  Il ajoute aussi que l'Actualité avait tout un dossier, intitulé « Justice: une affaire de riches? » dans l'édition du 1er mai 2011.  Malgré cela, M. Meijer pense que le sujet n'a vraiment pas été suffisamment abordé dans le discours public.

M. Meijer suggère aussi que les réformes du système judiciaire devraient aller plus loin que seulement l'accessibilité et suggère la séparation du judiciaire et du barreau: « Un avocat ne devrait jamais devenir juge.  Il faut créer une école de magistrature.  On deviendrait soit juge, soit avocat. »


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Renseignements:

Jonathan Meijer
jonathan.meijer@pvq.qc.ca
Tél: 819-210-4085
Twitter: @jnmeijer

mercredi 22 août 2012

Une lettre pour Roch Cholette

Monsieur Cholette,

Je vous remercie d'abord de m'avoir accueilli à votre émission hier.  Je crois que les Gatinois tireront avantage à être informés au sujets des plus petits partis, surtout lors d'une élection où il semble s'être imposé un certain embargo sur la disponibilité de cette information.

Je dois vous dire que je trouve dommage que vous ayez (je suppose pour but d'exemple) indirectement questionné mon parcours de formation, alors qu'il me semble que le parcours professionnel des candidats a beaucoup plus d'importance.

Par exemple, ma formation est un baccalauréat en génie informatique obtenu en 2004 à l'Université d'Ottawa (voir une copie en pièce jointe).  Du jour au jour, par contre, tel témoigné par mon titre d'emploi de programmeur analyste (voir une copie de ma promotion récente en pièce jointe), je n'utilise qu'une partie des connaissances et de l'expérience que j'ai acquise à l'université.  Certains de mes collègues n'ont qu'un diplôme collégial en « techniques de génie informatique » mais ils sont bien qualifiés et ont démontré leurs compétences pour leur emploi.

Quand on postule un emploi dans le domaine de la technologie de l'information, un diplôme collégial ou universitaire est très souvent requis simplement pour postuler.  Mais malgré ce prérequis, selon mon expérience, l'authenticité du diplôme supposément détenu par le candidat à l'emploi est rarement vérifiée.

Bien plus souvent, voire presque toujours, c'est plutôt l'entrevue qui permet au candidat de prouver son parcours de formation, et les références fournies permettent à l'employeur de vérifier les éléments importants du parcours professionnel.

Un individu se portant candidat lors d'une élection se retrouve dans une position bien similaire à quelqu'un postulant emploi.  Je suis sûr de ne pas être le seul qui juge que l'expérience professionnelle qu'il ou elle prétend avoir est importante, et qu'il est raisonnable d'en demander preuve si le candidat n'a pas de lien de longue date avec le parti et n'est pas une personnalité connue.

Comme je vous l'avais expliqué, ça fait depuis 2007 que j'ai eu l'occasion de travailler avec M. Sabourin, et cela lui a permis de faire bonne connaissance de ma valeur en tant que participant politique et ensuite candidat au fédéral.  En août 2011, il m'a personnellement invité à devenir candidat du Parti vert du Québec, une offre que j'ai acceptée.  Quand il a été ensuite question d'engager d'autres candidats de l'Outaouais, l'équipe locale a trouvé des gens que nous connaissions déjà, et dont nous connaissions le rôle dans la communauté.  De plus, les candidats avaient très vite démontré un engagement ne laissant aucun doute quant à leurs intentions.

Si une taupe s'est insérée dans le processus, ce n'était sûrement pas pour démontrer l'ouverture du Parti vert du Québec en tant que regroupement décentralisé de membres ayant une passion pour l'environnement et une meilleure qualité de vie et justice sociale.  Rappelons qu'une alliance informelle de candidats indépendants (dont Elizabeth May) qui s'étaient présentés lors de l'élection fédérale de 1980 pour l'environnement et contre le nucléaire, était un des précurseurs des partis verts au Canada.

Je pense qu'il est juste de se demander si le journaliste Ewan Sauves (un pigiste, il faut se le rappeler) essayait plutôt simplement de discréditer un parti en écrivant ce qui a peut-être été le seul article permettant à La Presse de briser son silence médiatique au sujet de ce parti.  Je me demande s'il a vraiment exposé une facette critiquable du Parti vert du Québec, son ouverture et sa décentralisation, ou s'il a plutôt exposé la tendance apparente des grands partis à ne chercher comme candidats que des personnalités publiques ou des personnes d'affaires ayant une grande ambition ou encore de leurs travailleurs politiques de longue date, ignorant toute une classe de gens moins nantis mais tout aussi (ou encore plus) compétents en tant que représentants du peuple.

Le Parti vert du Québec doit peut-être améliorer et formaliser son processus de recrutement de candidats, mais le parti ne cesse d'évoluer et laissez-moi vous convaincre que son équipe en Outaouais est une équipe honnête, dédiée et qualifiée sacrifiant toute heure de loisir pour la cause.  Nous ne cesserons de participer dans le débat, même entre les élections, car nous voulons nous assurer que les sujets locaux importants ne soient pas oubliés.

Je vous prie d'agréer, M. Cholette, l'expression de mes sentiments les plus sincères.

Jonathan Meijer
Parti vert du Québec - candidat dans Chapleau

mardi 21 août 2012

Le Parti vert en Outaouais s'indigne de son exclusion du débat de Logemen'occupe


COMMUNIQUÉ DE PRESSE
pour diffusion immédiate

Le Parti vert en Outaouais s'indigne de son exclusion du débat de Logemen'occupe

Gatineau, le 21 août 2012 - Les candidats du Parti vert du Québec s'indignent à l'exclusion du parti au débat de Logemen'occupe à propos du logement social.

« C'est aberrant que le Parti vert soit exclu du débat alors que nous sommes un parti présent depuis longtemps sur la scène politique avec une plateforme complète » dit Jozyam Fontaine, candidate dans Hull.

Jonathan Meijer, candidat du Parti vert du Québec dans Chapleau, est d'avis que son parti connait bien les enjeux et est tout à fait prêt à les débattre.  « Sans le Parti vert, plusieurs enjeux ne seraient jamais discutés durant les élections, dit-il.  Notre place dans le débat est essentiel en ce sens. »

M. Meijer indique que l'importance du logement abordable va bien au delà de simplement loger la population. « Le coût de fournir du logement social est bien moindre que les alternatives.  Les centres d'aide aux itinérants sont nécessaires mais coûtent plus cher par personne aux gouvernements que le logement social, sans toutefois offrir de solutions à long terme. »  M. Meijer ajoute que le Parti vert se distingue des autres partis en offrant toute une gamme de solutions pour améliorer la qualité de vie des Québécois et Québécoises sans que le coût soit excessif.


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Renseignements:

Jozyam Ilsa Fontaine
jozyam.fontaine@pvq.qc.ca
Tél: 819-319-6143
Twitter: @JozyamPVQ

Jonathan Meijer
jonathan.meijer@pvq.qc.ca
Tél: 819-210-4085
Twitter: @jnmeijer

dimanche 12 août 2012

En train d'aller nulle part

Une campagne électorale est typiquement une période de temps durant laquelle les partis établis fassent des promesse peu réalisables, ou encore des promesses qui sont des faits pratiquement déjà accomplis (on pense à une école dans le Plateau déjà planifiée depuis deux ans mais promise il y a quelques jours par Maryse Gaudreault).

Mais là parfois il y a des sujets qui ne reçoivent même pas de promesse.  On nous donne un estimé de temps de complétion, et encore est-il loin d'être définitif.  Aucun candidat n'a promis quoi que ce soit.  C'est alors qu'il faut vraiment s'inquiéter.

Je parle de nul autre que le Train Hull-Chelsea-Wakefield qui, tel que l'on a appris il y a deux jours, ne reprendrait pas service jusqu'en 2014.

Si je suis frustré, ce n'est pas seulement à cause de ma passion des trains et chemins de fer.  Le problème est simplement que le 24 juin 2011 n'était pas la première fois que la pluie avait endommagé la voie; un glissement de terrain ayant eu lieu le 24 mai 2008 avait aussi interrompu le train touristique, cette fois-là pendant un an.

Ça n'a simplement pas d'allure que, dans ces temps modernes, il n'y ait pas moyen de réparer rapidement cette voie ferrée qui avait servi pendant un bon siècle jusqu'à Maniwaki.  Si le Canada a pu, au XIXe siècle, se doter d'un chemin de fer qui traverse la plus grande partie du Canada en une dizaine d'années au pic et à la pelle, comment se fait-il que pas moins de trois ans soient nécessaires pour rouvrir les sections endommagées sur un trajet d'une longueur totale de 33 km?

Personnellement, je suis content que le CCFO ait acheté le train HCW.  Il aurait vraiment été dommage de perdre cet attrait touristique qui a des retombées économiques importantes.  L'achat permettra à la CCFO de couvrir une plus grande partie des coûts d'entretien de la voie, du moment que la gestion du train touristique est adéquate.

On verra le plan de la CCFO pour la relance du train en septembre, mais ce qu'il démontrera d'abord, c'est probablement qu'il n'y a pas d'argent disponible.  Selon nous, au Parti vert du Québec en Outaouais, le tourisme dans une région anciennement liée à l'exploitation des matières premières est un secteur économique que l'on ne peut négliger, et si l'argent manque, il faudrait que le gouvernement provincial subventionne la reconstruction de la voie ferrée, probablement par un prêt sans intérêt, avec surtout la condition que la reconstruction se fasse rapidement, non seulement cette fois-ci, mais pour chaque incident subséquent.

Dans la circonscription de Gatineau, il faut bien se demander ce que la députée libérale sortante qui se donne une note presque parfaite, Stéphanie Vallée, attend pour proposer une solution de reconstruction rapide.  Les Libéraux préfèrent-ils voir le train s'en aller ailleurs pour de bon, comme Gaspé?

samedi 11 août 2012

Des réponses aux questions d'Équiterre


Comment entendez-vous combler le manque à gagner, évalué à 20 milliards de dollars, au cours des 10 prochaines années pour le transport en commun?

Dans le but de réduire notre dépendance au pétrole, votre parti s’engage-t-il à réduire les investissements dans les nouvelles infrastructures routières afin de réinvestir ces sommes dans le transport en commun et mettre de l’avant les mesures nécessaires afin d’électrifier l’ensemble du réseau de transport en commun du Québec d’ici 2025?

Le Parti vert du Québec propose des solutions afin de grandement améliorer le transport en commun au Québec.

Nous proposons d'abord de décupler la taxe sur les émissions à 33$/tonne de CO2, afin de créer un fonds vert récurrent de 1/2 milliard $ par an, servant en partie à investir dans le développement durable du secteur des transports.

Nous proposons d'inciter le développement de droits de péage aux entrées des centres urbains afin de financer davantage le transport en commun.

Nous proposons l'augmentation de l'achalandage du transport en commun en augmentant le nombre de voies réservées, en augmentant le confort des véhicules (dont la climatisation), en augmentant la fréquence et les trajets, et en nationalisant les chemins de fer dans les centres urbains afin d'augmenter l'efficacité et la priorité du transport de passagers, tout en réduisant les coûts d'utilisation.

Nous proposons aussi des investissements pour des nouveaux trajets de trains entre les grandes agglomérations du Québec, pour un transport de passagers efficace bénéficiant d'une utilisation généralisée, mais aussi pour permettre le transport de marchandises.  Un plus grand nombre de déplacement de biens par rail, mais aussi par voies fluviales, réduira les dépenses reliées à l'entretien des autoroutes existantes ainsi que le besoin de nouvelles autoroutes.

Nous proposons de réduire la dépendance du Québec des importations de pétrole en misant sur une électrification progressive du transport en commun dans les centres urbains.

Les sources d’énergie qui connaissent le plus fort taux de croissance dans le monde sont les énergies renouvelables comme le solaire et l’éolien. À ce titre, une fois élu, votre parti s’engage-t-il à mettre en place, comme l’a fait l’Ontario, un programme incitatif pour la production à petite échelle d’énergies renouvelables?

Le Québec a déjà érigé des barrages hydroélectriques dans les cours d'eau donnant les meilleures capacités de génération.  Les nouveaux projets hydroélectriques potentiels ne valent plus les investissements connexes et leur impact environnemental n'est jamais négligeable.  C'est la raison pour laquelle le Parti vert du Québec propose les choses suivantes:
- Développer l'énergie éolienne, en visant 15% de la production d'électricité comme au Danemark.
- Développer les sources d'énergie de la biomasse en favorisant celles provenant des déchets (huiles végétales usées, méthane des dépotoirs, déchets forestiers, etc.).
- Développer les recherches en énergie solaire passive (thermique) et active (photoélectrique).

Les grands complexes hydroélectriques sont un exemple d'une centralisation poussée de la production d'électricité, et une telle centralisation pose toujours certains risques.  Les énergies alternatives énoncées ci-haut sont, de nature, décentralisées, et se portent donc bien à la petites échelle tout en augmentant l'indépendance des localités en approvisionnement d'électricité.  Le Parti vert du Québec s'engage à appuyer cette approche.

Équiterre et plusieurs comités de citoyens s’inquiètent de la venue imminente des sables bitumineux au Québec à travers un pipeline vieux de 40 ans. Quelle est la position de votre parti à la fois sur l’arrivée des sables bitumineux au Québec et sur les risques liés à l’utilisation de ce vieux pipeline?

Malgré la richesse hydroélectrique du Québec, nous dépendons encore très fort des combustibles fossiles, qui sont donc importés en formes brutes et raffinées.  Puisque le pic de la production pétrolière conventionnelle s'est manifesté il y a déjà plusieurs années, la production non-conventionnelle (dont les sables bitumineux) a vécu une effervescence, et la combinaison de disponibilité et de prix suggère une inversion du flux du pétrole dans le pipeline entre l'ouest du Canada et l'Ontario.

Considérant le nombre de fuites qui font les manchettes, et aussi surtout les fuites qui ne les font pas, le Québec se doit de réduire sans tarder sa consommation des combustibles fossiles afin d'éliminer l'importation du pétrole tout en visant l'indépendance énergétique.

Le Parti vert du Québec s'engage à appuyer cette réduction en proposant plusieurs approches:
- Investir dans le développement de sources d'énergies renouvelables, une expertise que nous pourrons exporter.
- Plafonner et marchander les émissions de gaz à effet de serre.
- Tel qu'énoncé plus tôt, adopter une politique de transport promouvant le transport en commun, le développement du partage-auto, la transformation du parc automobile, ainsi que le transport de marchandises par voies fluviales et ferrées.

Si votre parti est élu, adopterez-vous une politique d'approvisionnement d'achat de produits locaux et biologiques pour les établissements publics avec des cibles chiffrées?

Il va de soi que l'agriculture productiviste détruit l'environnement et la conversion à une agriculture biologique est nécessaire.  Cette conversion ne se fait pas rapidement et engendre certains coûts.  Un gouvernement vert supporterait l'agriculture biologique en adoptant une politique d'approvisionnement de produits locaux et biologiques.

Comptez-vous investir massivement pour le soutien et la promotion de l'agriculture biologique au Québec, notamment en remboursant les frais de certification biologique aux producteurs?

Une étude a déjà démontré que l'agriculture biologique a des meilleurs rendements dans toutes les mesures.  La conversion à l'agriculture biologique est donc désirable de soi, mais un tel changement porte certains coûts.  Afin de soutenir l'agriculture biologique, le Parti vert du Québec s'engage tout d'abord d'introduire un programme incitatif financier de conversion au biologique, visant à contrer ces coûts.

De plus, à court terme, nous nous engageons à:
- Introduire un incitatif financier aux producteurs non biologiques pour une conversion vers une agriculture dite raisonnée.
- Interdire l'utilisation d'antibiotiques à titre préventif dans les aliments des animaux.
- Imposer un moratoire immédiat sur toutes les productions d'OGM pour en viser l'interdiction complète.
- Amener une aide concrète aux groupes de citoyens dont l’action vise la promotion de l’agriculture écologique, des coopératives d’aliments naturels, et du jardinage communautaire.

Nos objectifs à long terme sont les suivants:
- Encouragement par des mesures appropriées de la production et la distribution de denrées alimentaires de qualité écologique afin de permettre aux consommateurs de faire un véritable choix.
- Instauration d’une appellation contrôlée légale biologique pour les produits alimentaires.
- Orientation de l’enseignement agricole vers l’agriculture biologique.
- Réorientation des recherches en agriculture vers des recherches plus régionales et orientées vers l’agriculture écologique.
- Encouragement des programmes d’éducation sur l’alimentation naturelle.
- Promotion des aliments moins carnés, frais, provenant de milieux organiques saints et le moins possible transformés.
- Interdiction des OGM et des brevets sur le vivant.

Est-ce que votre parti s'engage à revoir le code de gestion des pesticides afin de le rendre équivalent ou même supérieur à ceux de l’Ontario et de la Nouvelle-Écosse?  Est-ce que vous comptez faire en sorte que le Québec interdise la vente et l’usage des pesticides agricoles bannis actuellement dans d’autres pays de l’OCDE, et que les aides financières aux producteurs deviennent conditionnelles à leurs efforts de réduction de l’usage de pesticides?

L'usage des pesticides vient à l'encontre de notre but d'en réduire l'usage en favorisant l'approche biologique.  Le Parti vert du Québec s'engage à revoir le code de estion des pesticides et d'en restreindre les ventes.  Les incitatifs aux producteurs non biologiques seront liés à une conversion vers une agriculture dite raisonnée.

S'il est élu, est-ce que votre parti s'engage à tenir un sommet sur l’économie verte dans les 100 premiers jours de son mandat?

Dans cette ère dans laquelle les convention de croissance économique durable n'ont plus de sens (voir bon billet L'ultime contradiction: croissance économique durable), l'économie verte ne veut pas seulement dire simplement remplacer quelques voiture à essence par des voitures électriques.  Au contraire, il faut complètement repenser l'économie, et le passage récent du pic de la production pétrolière implique que les changements économiques profonds doivent être d'abord abordés en réduisant notre consommation d'énergie non-renouvelable.  Ces changements nécessitent rien de moins qu'un sommet et le Parti vert du Québec est prêt à le faire.

mardi 7 août 2012

Avis aux médias: Chef du PVQ à Gatineau ce mercredi


AVIS AUX MÉDIAS


PARTI VERT DU QUÉBEC

Invitation aux journalistes

Gatineau, Québec, le 7 août 2012 - C'est avec grand plaisir que le chef du Parti vert du Québec, Claude Sabourin, présentera ses candidats pour la région de l'Outaouais.  Une discussion avec les candidats sera possible suite à la présentation de ceux-ci.

QUAND: Le mercredi 8 août 2012 à 17h
OÙ: Restaurant La Tasca, 827 boul. St-René Ouest, Gatineau, Québec


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Renseignements:

Marijo Bourgault pour Claude Sabourin
1-888-998-8378

Jonathan Meijer
jonathan.meijer@pvq.qc.ca
819-210-4085
Twitter: @jnmeijer


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MEDIA ADVISORY


GREEN PARTY OF QUÉBEC

Invitation to press conference

Gatineau, Québec, 7 August, 2012 - It's with great pleasure that the leader of the Green Party of Québec, Claude Sabourin, will present his candidates in the Outaouais region.  Discussions with candidates will be possible afterwards.

WHEN: Wednesday August 8, 2012 at 5 pm
WHERE: Restaurant La Tasca, 827 boul. St-René Ouest, Gatineau, Québec


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Information:

Marijo Bourgault for Claude Sabourin
1-888-998-8378

Jonathan Meijer
jonathan.meijer@pvq.qc.ca
Tel: 819-210-4085
Twitter: @jnmeijer

dimanche 5 août 2012

Candidat PVQ dans Chapleau


C'est avec grand plaisir que je vous annonce que je serai le candidat du Parti vert du Québec dans la circonscription de Chapleau durant cette élection provinciale.

Je vous invite à me suivre ma campagne sur Twitter par @jnmeijer ou Facebook au https://www.facebook.com/JonathanMeijerPVQ, ou encore par courriel à jonathan.meijer@pvq.qc.ca.  J'ai bien sûr aussi un blogue au jonathanmeijer.blogspot.com.

L'Outaouais a été pris pour acquis pendant les dernières années car il a donné sans effort, au parti régnant, des députés.  Cela nous a rendu un des enfants pauvres et négligés du Québec.  L'indépendance peut être considéré comme un but noble, mais l'Outaouais ne se retrouverait pas gagnant si le contrôle demeure trop centralisé.  C'est la raison pour laquelle le PVQ prône une approche de décentralisation, et c'est pourquoi l'Outaouais a besoin du PVQ!

Localement, j'ai milité depuis plusieurs années pour les causes environnementales et pour le gros bon sens à Gatineau.  En 2004, j'ai obtenu mon baccalauréat en génie informatique de l'Université d'Ottawa, et ma passion demeure d'analyser tous les dossiers pour les comprendre à fond et pour suggérer des alternatives mieux pensées.

J'espère que vous suivrez ma campagne, et que vous vous joindrez à l'équipe verte en Outaouais!